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samedi 19 mai 2007

Conférence de Yalta / Potsdam và Georges Thierry d'Argenlieu - HCM

Georges Thierry d'Argenlieu


Georges Thierry d’Argenlieu est né à Brest, le 7août 1889, fils du contrôleur général de la Marine Olivier Thierry d’Argenlieu, d’une famille picarde établie à Argenlieu, près d’Avrechy, dans l’Oise. Il est le troisième fils d’une famille de six enfants qui tous seront militaires ou/et entreront dans les ordres. Il entre à l’école Navale en 1906, en sort enseigne de vaisseau en 1909 et embarque en 1911 à bord du cuirassé Bouvet. En 1912, il participe à des opérations navales sur les côtes du Maroc à bord du croiseur Du Chayla.

Au cours de la première guerre mondiale, il sert à Toulon puis embarque à bord des torpilleurs Déhorter, D’Iberville et Eros qui patrouillent en Méditerranée. Lors d’une permission, en 1915, il entre en relation avec la Mère prieure du Carmel de Vienne et avec son confesseur, le père Crozier ; il fait un pèlerinage à Paray le Monial et lit les écrits de trois grandes figures du Carmel : Sainte Thérèse d’Avila, Saint Jean de la Croix et Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus. En 1917, il est à l’état-major à Toulon et, en 1918, lieutenant de vaisseau, il commande le patrouilleur La Tourterelle. En 1919, il conduit à Haïfa les carmélites du Mont Carmel expulsées par les Turcs et visite les lieux saints.

Il démissionne de la Marine et, en 1920, prend l’habit et prononce ses vœux dans l’ordre des Carmes sous le nom de frère Louis de la Trinité. Il est ordonné prêtre en 1925 à Lille. En 1935, il est supérieur de la province Carme de Paris. Le 26 août 1939, il rejoint, comme lieutenant de vaisseau, le secteur de défense de Cherbourg. Le 19 juin 1940, capitaine de corvette, il est fait prisonnier mais s’évade le 22 juin et rejoint l’Angleterre par Jersey. Le 1er juillet 1940, en compagnie de l’amiral Muselier, il est reçu par le général de Gaulle qui le nomme chef d’état-major des Forces Navales Françaises Libres (FNFL). Lors de l’affaire de Dakar, il est capitaine de frégate, commandant la force des FNFL auprès de l’amiral britannique Cunningham qui commande la Force Navale M à bord du Westerland. Le 23 septembre 1940, le général de Gaulle, qui veut rallier l’Afrique Occidentale Française, l’envoie porter un courrier, mi-invite, mi-ultimatum, au gouverneur général Boisson, fidèle au gouvernement du maréchal Pétain et dont les troupes répliquent par des tirs et le blessent grièvement avant de repousser l’attaque conjuguée des FNFL et de la Force M. Par la suite, il commande les FNFL en Afrique Equatoriale Française. Promu capitaine de vaisseau, membre du Conseil de l’Empire, il est le premier chancelier de l’ordre de la Libération, le 29 janvier 1941. Du 7 mars au 11 mai 1941, il est en mission de propagande au Canada.

Nommé en août 1941 haut commissaire de France dans le Pacifique, il a pour mission de réduire les différends entre les divers administrateurs nommés par la « France Libre ». Promu contre-amiral, il dispose du croiseur léger Triomphant et de l’aviso Chevreuil. Le débarquement des troupes américaines du général Patch, le 12 mars 1942, en Nouvelle Calédonie qui devient base arrière pour les opérations de lutte contre les Japonais est la source de divergences profondes avec le gouverneur de la France Libre, Henri Sautot, très populaire à Nouméa, qui s’était rallié au général de Gaulle dès le 20 juillet 1940. Le 5 mai 1942, l’amiral Thierry d’Argenlieu embarque d’autorité Henri Sautot sur le Chevreuil et le débarque en Nouvelle Zélande, ce qui provoque de graves troubles en Nouvelle Calédonie : la milice civique du capitaine Dubois met provisoirement l’amiral en état d’arrestation.

Rappelé à Londres au début de l’année 1943, il devient commandant des FNFL en Grande Bretagne le 19 juillet 1943. Le 14 juin 1944, huit jours après le débarquement anglo-américain en Normandie, il conduit le général de Gaulle à bord de la Combattante vers les côtes françaises. Vice-amiral en décembre 1944, il est vice-président du conseil supérieur de la Marine et inspecteur général des forces maritimes. Il participe au printemps 1945, comme conseiller naval de la délégation française menée par Georges Bidault, à la conférence de San Francisco qui crée l’Organisation des Nations Unies.

Le 16 août 1945, lendemain de la capitulation japonaise, Georges Thierry d’Argenlieu est nommé, par le général de Gaulle, haut commissaire de France et commandant en chef en Indochine avec pour mission d’y rétablir l’ordre et la souveraineté française tandis que le général Leclerc est nommé commandant en chef du corps expéditionnaire en Extrême-Orient (il sera confirmé par les gouvernements Gouin, Bidault et Blum après le départ du général de Gaulle le 20 janvier 1946).

Le 6 septembre 1945, l’amiral d’Argenlieu part pour Saïgon et y arrive le 31 octobre ; il y retrouve le général Leclerc présent depuis le 5 octobre. Les deux hommes ne s’entendront pas et leur conflit conduira au départ du général Leclerc en juin 1946. Ils n’ont pas la même position sur l’opportunité et la nature des négociations avec Hô Chi Minh. D’Argenlieu n’accepte pas vraiment les accords Hô-Sainteny du 6 mars 1946. Ses entretiens avec Hô Chi Minh, le 24 mars 1946, à bord de l’Emile Bertin, en baie d’Along, en présence de Sainteny et Pignon, ne rapprochent pas les points de vue et sont l’occasion d’un incident violent avec Leclerc. En opposition aux accords du 6 mars 1946, il proclame une République de Cochinchine le 1er juin 1946, alors qu’Hô Chi Minh est parti en France accompagné par Raoul Salan.

Promu amiral le 6 juin 1946, il est rappelé en France le 5 mars 1947 par le nouveau président du conseil Ramadier qui nomme Emile Bollaert pour lui succéder.

Rentré en France, il se retire au couvent d’Avon mais reste chancelier de l’ordre de la Libération jusqu’au 15 février 1958. Il meurt le 7 septembre 1964 au carmel de Relecq- Kerhuon, près de Brest. Ses obsèques sont célébrées dans l’église d’Avrechy-Argenlieu en présence du général de Gaulle.

Grand-Croix de la légion d’honneur, compagnon de la Libération, titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre 1939-45 avec trois palmes et de la croix de guerre des T.O.E., l’amiral d’Argenlieu est l’auteur de trois ouvrages :

- La croix de la Libération, Paris, 1951

- Souvenirs de Guerre : Juin 1940-Janvier 1941, Paris, 1973

- Chroniques d’Indochine : 1945-1947, Albin Michel, Paris 1985



En route pour Saïgon où il a été appelé par Leclerc, le général de brigade Raoul Salan fait escale à Calcutta le 15 octobre 1945. Il a rendez-vous le lendemain à Chandernagor avec l’amiral d’Argenlieu lui-même en route pour Saïgon. D’Argenlieu lui dresse un tableau de la situation en Indochine et le charge de faire revenir en Indochine les troupes françaises stationnées en Chine. Le 1er novembre 1945, l’amiral d’Argenlieu nomme Raoul Salan commandant des troupes françaises de Chine et du Tonkin. Le 19 décembre, l’amiral d’Argenlieu signe un ordre de mission à Raoul Salan, lui prescrivant de se rendre à Tchoungking (aujourd’hui Chongqing) auprès du gouvernement Chinois pour négocier le retrait des forces chinoises d’Indochine. Le 10 février 1946, Raoul Salan rend compte directement à l’amiral d’Argenlieu des résultats de sa mission à Tchoungking et de son entretien du 8 février avec Hô Chi Minh. Le dimanche 24 mars, à bord de l’Emile Bertin, après les entretiens entre d’Argenlieu et Hô Chi Minh et l’incident Leclerc-d’Argenlieu, l’amiral convoque Raoul Salan et, tremblant de colère, lui demande de « rappeler Leclerc à la raison ». Salan revoit d’Argenlieu le 17 avril 1946, à l’ouverture de la conférence préliminaire de Dalat, puis le 18 mai à Hanoï où l’amiral lui lit la notation qu’il lui donne en tant que supérieur hiérarchique et qui contient une proposition de passage au grade supérieur, ce qui ne laisse pas d’étonner Raoul Salan car l’amiral a demandé son rappel en métropole. Le 29 mai 1946, l’amiral d’Argenlieu nomme Raoul Salan délégué militaire à la conférence de Paris (devenue ultérieurement conférence de Fontainebleau). Le jeudi 4 juillet 1946, peu avant l’ouverture de la conférence de Paris, l’amiral Thierry d’Argenlieu reçoit à déjeuner au Ritz en l’honneur d’Hô Chi Minh; Raoul Salan , qui a accompagné Hô Chi Minh depuis Hanoï, est invité.

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Hô Chi Minh



Né Nguyen That Thanh, en 1890 ou 1892, à Kiem Lien, dans la province de Nghe An, dans le nord du Vietnam, Hô Chi Minh prendra ce pseudonyme (« celui qui donne la lumière »), après celui de Nguyen Ai Quoc, au cours de sa vie de révolutionnaire qui comporte bien des inconnues.

Instituteur dans un village de pêcheurs, il est aide-cuisinier sur un paquebot assurant une ligne régulière avec l’Europe. Il arrive à Paris en 1917, y est photographe, fréquente les milieux révolutionnaires et devient membre du parti socialiste. En 1920, il aurait assisté au congrès de Tours ; il devient membre du parti communiste. De 1923 à 1925, il travaille au Komintern à Moscou et y suit l’enseignement de l’université des travailleurs d’Extrême-Orient (Ecole Staline). Il rejoint ensuite secrètement la Chine, le Siam et Hong-Kong où il est emprisonné par les Anglais mais reste en liaison avec la C.G.T. et le parti communiste français. En mars 1930, il fusionne les diverses composantes communistes vietnamiennes en un parti unique : le parti communiste indochinois (P.C.I.). Autorisé par le gouvernement de front populaire, en 1936, le P.C.I. s’appuie sur 500 comités, syndicats et autres groupements, se structure et se renforce ce qui lui permet de survivre après l’interdiction de 1939, conséquence de la signature du pacte germano-soviétique. En 1940, Hô Chi Minh est installé au Yunnan et pratique une politique de « front national » en faisant entrer, en 1941, les communistes dans une organisation à façade nationaliste qu’il fonde : le Viêt Nam Doc Lap Dong Minh, en abrégé Viêt-Minh, soutenu par l’O.S.S. américain. Dans les années 1942-1944, il s’impose par le terrorisme en faisant assassiner les nationalistes hostiles au communisme. Le 21 août 1945, une semaine après la capitulation japonaise, Hô Chi Minh arrive à Hanoï. Il forme un gouvernement provisoire le 29août, qui, le 2 septembre proclame l’indépendance et la naissance de la république démocratique du Vietnam dont Hô Chi Minh est le président. Le 6 mars 1946, les accords préliminaires Hô – Sainteny sont signés par lesquels la France reconnaît l’indépendance de la RDVN au sein de l’Union Française et la vocation à l’union (référendum à organiser) du Tonkin, de l’Annam et de la Cochinchine, moyennant le retour des troupes françaises en Indochine. Par la suite Hô Chi Minh se rend en France pour la conférence de Fontainebleau. Celle-ci est un échec ; il signe cependant, le 14 septembre 1946, avec Marius Moutet, ministre de la France d’Outre-Mer, une déclaration conjointe, dite « modus vivendi », destinée à apporter des réponses provisoires aux questions conflictuelles se posant entre la France et le Vietnam. Le 19 décembre 1946, Hô Chi Minh et son gouvernement quittent Hanoï en début d’après-midi, avant le coup de force sanglant du Viêt-Minh déclenché le soir-même par Giap : la guerre d’Indochine débute.

Le 21 juillet 1954, après Dien Bien Phu, les accords de Genève mettent fin à la première guerre d’Indochine et Hô Chi Minh, qui retourne à Hanoï en octobre 1954, devient président du Nord-Vietnam (au nord du 17ème parallèle). Il signe à Moscou, en juillet 1955, un accord qui lui garantit l’aide soviétique. En 1955, il préside à une épuration « idéologique » qui se traduit par des milliers d’exécutions et de condamnations à des camps de travail. En 1956, il est secrétaire général du parti communiste. En 1959, il déclare « la guerre du peuple pour l’unification du Vietnam ». Il meurt en 1969, peu après l’offensive du Têt au Sud-Vietnam, mais sans avoir vu la victoire sur les Etats-Unis et le Sud-Vietnam.


Le 8 février 1946, le général Salan est reçu par le président Hô Chi Minh dans les anciens locaux de la résidence supérieure. Ils ont un entretien d’une heure et demie où les positions de chacun des interlocuteurs sont exprimées sans fard mais dans un climat de dialogue. Le 6 mars 1946 à 17 heures, Raoul Salan assiste à la cérémonie de signature des accords Hô – Sainteny dans les locaux de l’ancien « Cercle d’Hanoï ». Le 7 avril 1946, Raoul Salan est invité à dîner avec son épouse par Hô Chi Minh qui lui offre son portrait photographique dédicacé avant d’engager une discussion difficile sur l’application des accords du 6 mars. Le 31 mai 1946, le général Salan accompagne Hô Chi Minh dans son voyage vers la France pour la conférence de Fontainebleau. Ils font escale à Rangoon, à Calcutta, à Habbaniya en Irak, au Caire, à Biskra, à Biarritz où ils arrivent le 12 juin. Le 14 juin, Jean Sainteny prend en charge le président Hô Chi Minh. Raoul Salan revoit fréquemment Hô Chi Minh à Paris avant l’ouverture de la conférence, le 6 juillet. Il le reverra pour la dernière fois le 12 septembre 1946 lors d’un petit déjeuner chez Raymond Aubrac, à Soisy-sous-Montmonrency. Là, Raoul Salan met en garde Hô Chi Minh contre la guerre qu’il voit venir et le prie de ne pas commettre l’irréversible qui fera le malheur de son peuple.

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- .:: ANAPI : Association Nationale des Anciens Prisonniers et ...
L’Amiral Thierry d’Argenlieu Haut-commissaire en Indochine. ... Entretien Thierry d’Argenlieu-Ho Chi Minh en baie d’Along. Avril 1946 ...www.anapi.asso.fr/fr_Contexte-historique_56.htm

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